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Noon
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 Posté le: 15 Sep 2004 18:27 Sujet du message: |
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| Citation: | - Est-ce que... Est-ce que vous savez pourquoi ma cicatrice me fait mal ?
Dumbledore regarda longuement Harry.
- J'ai une hypothèse, rien de plus, dit-il enfin. Je crois que ta cicatrice devient douloureuse lorsque Voldemort se trouve à proximité ou qu'il est pris d'un accés de haine particulièrement violente. |
Déjà, dans le 5, Harry attribue la douleur lors de sa détention avec Ombrage à un accès de JOIE de Voldemort.
Donc soit la résurrection de ce dernier a renforcé leur lien, soit la douleur d'Harry est due à autre chose. Après tout c'est Harry qui interprète ça comme lié à la joie de Voldemort, donc la règle 4 s'applique.
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Dernière édition par Noon le 21 Juin 2005 15:57; édité 1 fois |
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Silvertongue
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| Posté le: 15 Sep 2004 20:58 Sujet du message: |
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Le tome 5, donc.
Harry ressent un ‘désagrément‘ au niveau de sa cicatrice, lorsqu’il est dans le parc de Magnolia Crescent, près de chez les Dursley, p 17 :
| Citation: | | Souvent, la cicatrice de son front le picotait désagréablement mais il savait bien que Ron, Hermione ou Sirius n’y accorderaient pas la moindre importance. Dans le passé, la douleur de l’avertissait que Voldemort reprenait des forces, mais à présent que Voldemort était bel et bien de retour, ses amis lui auraient sans doute répondu qu’il devait s’attendre à ressentir plus régulièrement cette irritation… Pas de quoi s’inquiéter… Rien de nouveau… |
Puis, une démangeaison à la cicatrice est mentionnée lors des rêves de corridors que fait Harry, juste avant son audience disciplinaire, tome 5, p 138-139 :
| Citation: | | En dépit d’un sommeil agité, toujours peuplé des mêmes rêves de couloirs et de portes verrouillées qui provoquaient des picotements dans le long de sa cicatrice, Harry, pour la première fois depuis le début de l’été, parvint à s’amuser un peu. |
Nouvelle alerte, après ladite audience disciplinaire, au square Grimmaurd, tome 5, p 180 :
| Citation: | -Du moment que Dumbledore venait te soutenir, ils ne pouvaient plus te condamner, bien sûr, dit Ron d’un ton joyeux en distribuant de grands tas de purée dans les assiettes.
- Ouais, il a tout arrangé, dit Harry.
Il estima qu’il serait ingrat, pour ne pas dire puéril, d’ajouter : « mais j’aurais bien voulu qu’il me parle. Ou même qu’il me regarde. »
A cette pensée, la cicatrice de son front le brûla si douloureusement qu’il plaqua une main dessus. |
Dans le même chapitre, après que Mrs Weasley a été confrontée à l’épouvantard, tome, 208-209 :
| Citation: | L’image de l’Epouvantard prenant l’aspect du cadavre de chacun des membres de la famille Weasley lui revenait par instants devant les yeux.
Sans aucun signe avant-coureur, la cicatrice de son front devint douloureuse et il sentit son estomac se soulever horriblement.
- Ca suffit, toi, dit-il d’une voix forte en frottant sa cicatrice dont la douleur diminua très vite. |
Ce passage me semble montrer que la concentration de Harry est un élément déterminant dans le fait que Harry ressente ou pas de la douleur au niveau de sa cicatrice. En effet, cette déclaration n’est que le corrélat audible d’un acte mental de Harry pour repousser la douleur. Bref, Harry fait de l’Occlumencie sans le savoir – d’après moi.
Quelques lignes plus loin, juste après un ‘rêve’ de couloir, tome 5, p 205 :
| Citation: | | Cette nuit-là, Harry eut le sommeil agité. Ses parents allaient et venaient dans ses rêves, sans jamais lui parler. Mrs Weasley sanglotait, penchée sur le cadavre de Kreattur, sous les yeux de Ron et d’Hermione coiffés de couronnes et, cette fois encore, Harry se retrouvait dans un couloir qui menait à une porte verrouillée. Il se réveilla en sursaut, en ressentant des picotements le long de sa cicatrice […] |
Ensuite vient le passage dont nous a parlé Galistros et que j’ai cité plus haut, tome 5, p 313 :
| Citation: | [Ombrage] s'approcha de [Harry] et tendit ses doigts courts chargés de bagues. Lorsqu'elle lui prit le bras pour examiner les mots inscrits dans sa chair, il ressentit une douleur cuisante non pas au dos de la main, mais à l'endroit de sa cicatrice. Au même instant, il éprouva une étrange sensation quelque part au niveau de son estomac.
Il dégagea son bras de la main d’Ombrage et se leva d’un bond, les yeux fixés sur elle. Elle soutint son regard, un sourire étirant sa bouche large et molle.
- Ah oui, ça fait mal, n’est-ce pas ? dit-elle doucement.
Il ne répondit pas. Son cœur battait très vite et très fort. Lui parlait-elle de sa main ou savait-elle que c’était sa cicatrice qui lui avait fait mal ?
- Eh bien, je crois que j’ai réussi à me faire comprendre, Mr Potter. Vous pouvez partir. |
Ce passage est effectivement troublant, tant pour Harry que pour le lecteur, mais je persiste cependant à défendre la position que je vous ai exposé plus haut.
Harry raconte, ensuite ce qui s’est passé à ses amis, tome 5, p 316 :
| Citation: | | - Mais l’année dernière, poursuivit Hermione, ta cicatrice te faisait mal alors que personne ne te touchait et Dumbledore a dit que c’était en rapport avec les émotions que Tu-Sais-Qui ressentait à ce moment-là, tu te souviens ? Je veux dire par là que ça n’a peut-être rien à voir avec Ombrage. Peut-être s’agit-il d’une simple coïncidence ? |
Je sais bien que la règle 3 dit qu’il n’y a pas de coïncidences. Mais comme la règle 4a dit que Hermione a toujours raison, sauf lorsqu’elle raisonne avec ses émotions, et que, d’après moi, ici elle raisonne avec sa tête, pas avec ses tripes, je crois que nous avons, pour ce passage, un conflit de règles. Dans ces circonstances, il faut choisir d’appliquer une règle plutôt qu’une autre. Je choisis la règle 4a, d’autant que le terme ‘coïncidence’ se trouve dans le texte de Joanne K. Rowling. Cela n’arrive que 7 fois dans les 5 tomes parus à ce jour. Or, la seule autre fois où c’est Hermione qui parle de ‘coïncidence’, elle a manifestement raison, puisqu’il s’agit du fait que l’oncle de Ron, Billius, est mort moins de 24 heures après avoir vu le Sinistros – ‘c’est une coïncidence’, dit-elle (tome 3, p 95).
Ceci dit, il me semble que Joanne K. Rowling joue de plus en plus avec les règles énoncées par Galadriel Waters – règles que Joanne K. Rowling ne peut que connaître vu la reconnaissance qu’elle a accordé à Mugglenet -, depuis ‘l’affaire’ Mark Evans notamment.
Encore après un ‘rêve’ de couloir, tome 5, p 374 :
| Citation: | | Cette fois encore, son sommeil agité fut ponctué de rêves peuplés de longs couloirs et de portes verrouillées. Lorsqu’il se réveilla le lendemain, il ressentit à nouveau des picotements le long de sa cicatrice. |
Puis, après un entraînement de Quidditch, je cite le passage longuement parce qu’il est particulièrement instructif, tome 5, p 430-431-432 :
| Citation: | - AÏE ! s’exclama Harry.
Il pressa Harry la serviette contre son visage. Sans ses lunettes, les vestiaires lui paraissaient flous, mais il vit quand même tous les visages tournés vers lui.
- Rien, marmonna-t-il, je me suis mis la serviette dans l’œil, c’est tout.
Mais il adressa à Ron un regard éloquent et tous deux restèrent à le traîne pendant que les autres joueurs de l’équipe sortaient des vestiaires, emmitouflés dans leurs capes, leurs bonnets enfoncés par-dessus leurs oreilles.
- Qu’est-ce qui s’est passé ? demanda Ron dès que Alicia, la dernière de la file, eut franchi la porte. C’était ta cicatrice ?
Harry acquiesça d’un signe de tête.
- Mais …
L’air effrayé, Ron s’approcha de la fenêtre et regarda au-dehors la pluie qui continuait de tomber.
- Il ne peut pas se trouver à proximité ?
- Non, grommela Harry.
Il se laissa tomber sur le banc et frotta sa cicatrice.
- Il est probablement a des kilomètres d’ici. Ca m’a fait mal parce qu’il est… en colère.
Harry n’avait eu aucune intention de dire cela et il entendit ses propres paroles comme si un étranger les avait prononcés. Pourtant, il sut tout de suite qu’elles étaient vraies. Il ignorait comment, mais il le savait : Voldemort, où qu’il fut, quoi qu’il fît, était d’une humeur massacrante.
- Tu l’as vu ? demanda Ron, horrifié. Tu as eu… une vision ou quelque chose comme ça ?
Harry resta immobile, les yeux fixés sur ses chaussures, laissant son esprit et sa mémoire se détendre après l’intensité de la douleur.
Un mélange indistinct de silhouettes, un flot de voix vociférantes…
- Il veut que quelque chose soit fait et ça ne se passe pas assez vite à son goût, dit-il.
A nouveau, il fut surpris d’entendre ces mots sortir de sa bouche et pourtant, il était sûr que c’était vrai.
[…]
- C’était déjà comme ça, la dernière fois ? demanda [Ron] d’une voix étouffée. Lorsque ta cicatrice t’a fait mal, dans le bureau de Ombrage ? Tu-Sais-Qui était en colère ?
Harry fit non de la tête.
- Alors qu’est-ce qui se passe ?
Harry rassembla ses souvenirs. Il avait regardé le visage d’Ombrage… Sa cicatrice lui avait fait mal.. et il avait éprouvé cette étrange sensation… Une sensation de bonheur… mais bien entendu, il ne l’avait pas interprétée ainsi sur le moment, lui-même s’était senti trop accablé pour cela…
- La dermière fois, c’était parce qu’il était content, dit-il. Vraiment content. Il pensait… qu’une bonne chose allait se produire. Et la veille de notre arrivée à Poudlard…
Il repensa au moment où sa cicatrice lui avait fait tellement mal, dans la chambre du square Grimmaurd…
- … ce jour là, il était furieux…
Il se tourna vers Ron qui le regardait bouche bée.
- Tu pourrais remplacer Trelawney, dit-il, intimidé.
- Je ne lis pas l’avenir, répliqua Harry.
- Non, tu sais ce que sais ce que tu fais ? dit Ron qui paraissait à la fois effrayé et impressionné. Harry, tu parviens à lire les pensées de Tu-Sais-Qui !
- Non, répondit Harry en hochant la tête. C’est plutôt… son humeur, j’imagine. Par instant, je ressens son humeur comme une sorte d’éclair. Dumbledore a dit quelque chose dans ce genre là l’année dernière. Lorsque Voldemort était près de moi ou qu’il ressentait de la haine, je le savais. Eh bien, maintenant, je sais aussi quand il est de bonne humeur… |
Lors du rêve dans lequel Harry est le serpent qui attaque Mr Weasley, tome 5, p 521-522-523 :
| Citation: | - Harry ! HARRY !
Il ouvrit les yeux. Son corps était entièrement recouvert d’une sueur glacée. Ses draps et ses couvertures s’étaient entortillées autour de lui, comme une camisole de force. Il avait l’impression qu’on lui appuyé contre le front un fer chauffé à blanc.
- Harry !
Ron se tenait debout au-dessus de lui, l’air traumatisé. Il y avait d’autres silhouettes au pied du lit. Harry se prit la tête entre les mains. La douleur l’aveuglait…Il roula sur lui-même et vomit par-dessus le bord du matelas.
[…]
- Ton père, dit-il la respiration haletante. Ton père… s’est fait attaquer…
[…]
- Au début, c’était un rêve, un rêve stupide qui n’avait rien à voir… Et puis tout à coup, c’est devenu réel. Je ne l’ai pas imaginé. Mr Weasley était endormi par terre et il a été attaqué par un serpent gigantesque, il y avait plein de sang et il s’est évanoui. Il faut absolument savoir où il est… |
Dans le bureau du directeur alors que Harry croise le regard de Dumbledore pour la première fois depuis le début du tome 5, p 533-534 :
| Citation: | Tout se passa en une fraction de seconde : dans l’instant infinitésimal qui précéda le ‘trois’, Harry leva son regard vers lui [=Dumbledore] – ils étaient tout près l’un de l’autre – et les yeux bleu clair de Dumbledore se posèrent sur son visage.
Aussitôt la cicatrice de son front lui fit l’effet d’être chauffée à blanc, comme si l’ancienne blessure venait de se rouvrir. Alors, contre tout désir, contre toute volonté, mais avec une force terrifiante, il sentit monter en lui un sentiment de haine si intense qu’en cet instant précis, rien n’aurait pu lui apporter plus grande satisfaction que de frapper – de mordre – d’enfoncer ses crochets dans la chair de l’homme qui se tenait devant lui… |
Encore un ‘rêve’, juste après que la blessure de Mr Weasley ait été confirmée, tome 5, p 558 :
| Citation: | | Il atteignait la porte mais ne parvenait pas à l’ouvrir… Il restait là à la contempler, avec une envie irrésistible d’entrer… Quelque chose qu’il désirait plus que tout au monde se trouvait derrière cette porte… Quelque chose quoi dépassait ses rêves… Si seulement sa cicatrice s=cessait de le picoter… il pourrait réfléchir plus clairement… |
Pendant un cours d’Occlumencie avec Rogue, lorsque Harry comprend que ses ‘rêves’ lui montre le département des mystères, tome 5, p 603 :
| Citation: | Il regardait l’Oncle Vernon clouer uns planche devant la boîtes aux lettres à grands coups de marteaux… Une centaine de Détraqueurs s’avançaient vers lui sur les rives du las… Il courait avec Mr Weasley le long d’un couloir sans fenêtres… Ils s’approchaient de la porte noire et lisse, au fond du passage… Harry pensait qu’ils allaient passer par là… Mais Mr Weasley l’entraînait vers la gauche, en direction d’une volée de marches qui descendaient…
- JE SAIS ! JA SAIS !
Il était à nouveau à quatre pattes sur le sol. Sa cicatrice le picotait désagréablement, mais c’était un cri de triomphe qu’il avait lancé. Il se releva et se retrouva devant Rogue qui l’observait, sa baguette en l’air. Cette fois-ci on aurait dit que Rogue avait levé le sortilège avant même que Harry ait eu le temps de le combattre. |
Il faudrait réciter la dernière phrase à ceux qui pensent que Rogue joue le jeu de Voldemort. A noter : la cicatrice de Harry continue à lui faire un peu mal durant la suite de son entretien avec Rogue et pendant la journée suivante.
La suite du tome 5 vient un peu plus tard. |
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Silvertongue
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| Posté le: 19 Sep 2004 22:05 Sujet du message: |
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La fin du tome 5.
Pendant l’évasion des Mangemorts d’Azkaban, alors que Harry s’est évanouit, tome 5, p 608-609 :
| Citation: | - Harry ? HARRY ?
Quelqu’un l’avait frappé au visage. Le rire démentiel fut ponctué d’un cri de douleur. La sensation de bonheur s’échappait, mais le rire persistait.
Il ouvrit les yeux et s’aperçut alors que ce rire déchaîné sortait de sa propre bouche. Dès qu’il s’en fut rendu compte, le rire s’évanouit. Harry était allongé sur le sol, la respiration précipitée, les yeux fixés au plafond, sa cicatrice traversée d’horribles douleurs. Ron s’était penché sur lui, l’air très inquiet.
- Qu’est-ce qui s’est passé ? demanda-t-il.
- Je ne sais pas, haleta Harry en se redressant. Il est vraiment heureux… Très, très heureux… |
Après que l’évasion des Mangemorts a été confirmée, tome 5, p 621 :
| Citation: | | Avant de se lancer dans l’étude de l’Occlumencie, sa cicatrice le picotait occasionnellement, en général au cours de la nuit ou lorsqu’il lui arrivait de percevoir les pensées ou les humeurs de Voldemort. Depuis quelques temps, cependant, elle ne cessait de lui faire mal et il éprouvait souvent des accès de mécontentement ou de gaieté qui n’avaient pas de rapport avec ce qui se passait autour de lui et s’accompagnaient toujours d’une douleur aigue. Il avait l’horrible impression de se transformer lentement en une sorte d’antenne réglée sur les plus infimes changements d’humeur de Voldemort et il était certain que cette sensibilité accrue datait de sa première leçon d’occlumencie avec Rogue. Par surcroît, il rêvait presque chaque nuit à présent qu’il marchait dans le couloir menant au département des mystères et se retrouvait debout devant la porte noire avec un ardent désir de la franchir. |
Après la publication de l’interview que Harry donne à Rita Skeeter, dans lequel il raconte le retour de Voldemort, avant un ‘rêve’ dans lequel il voit Voldemort, tome 5, p 655-656 :
| Citation: | En fait, il commençait à avoir mal à la tête et sa cicatrice le picotait à nouveau désagréablement.
[…]
Il appuya son front contre la fraîcheur du carreau, à côté de son lit et sentit sa douleur s’apaiser.
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Au réveil, Harry souffre de sa cicatrice, tome 5, p 658 :
| Citation: | | Ron écarta les rideaux d’un coup sec et Harry étendu par terre sur le dos, sa cicatrice brûlante de douleur, le regarda à la lueur du clair de lune. |
Et, quelques lignes plus tard, lorsque Voldemort puni Avery de l’avoir mal renseigné à propos des prophéties, tome 5, p 659 :
| Citation: | | La cicatrice de Harry recommença à le brûler. Il mordit son oreiller pour étouffer une plainte de douleur. Quelque part, il le savait, Avery était en train de subir son châtiment. |
La deuxième fois que Harry croise le regard de Dumbledore dans le tome 5, au moment où ce dernier vient d’avouer à Fudge qu’il voulait le renverser pour que Harry puisse rester à Poudlard, p 697 :
| Citation: | - Souviens-toi, dit [Dumbledore] : ferme ton esprit.
Mais lorsque ses doigts entourèrent le poignet de Harry, une douleur aiguë traversa la cicatrice de son front et il ressentit à nouveau ce terrible désir de frapper Dumbledore à la manière d’un serpent, de le mordre, de lui faire mal…
- Tu comprendras plus tard, murmura Dumbledore. |
Pendant un ‘rêve’ de couloir, juste après que les jumeaux ont lancé leurs feux d’artifices dans toute l’école, tome 5, p 712 :
| Citation: | Maintenant, il était dans une pièce faiblement éclairée, aussi vaste qu’une église, et remplie d’innombrables rangées de hautes étagères sur lesquelles s’entassaient de petites sphères poussiéreuses en verre filé… L’excitation faisait battre son cœur de plus en plus vite… Il savait où aller… Il se mit à courir mais ses pas ne produisaient aucun son dans l’immense pièce déserte…
Il y avait dans ce lieu quelque chose qu’il voulait à tout prix… ou que quelqu’un d’autre voulait à tout prix…
Sa cicatrice lui faisait mal…
BANG !
Harry se réveilla en sursaut, désorienté et furieux. Des rires s’élevaient dans le dortoir obscur.
- Super ! s’exclama Seamus dont la silhouette se découpait contre la fenêtre. Je crois qu’un des soleils a heurté une fusée et c’est comme s’ils avaient eu des petits !
[…]
[Harry] resta étendu, immobile et silencieux, tandis que la douleur de sa cicatrice s’estompait et qu’une terrible déception l’envahissait. |
Pendant l’épreuve d’histoire de la magie des BUSE, quand Harry ‘rêve’, tome 5, p 817 :
| Citation: | - Endoloris !
L’homme étendu par terre laissait échapper un cri de douleur. Il essayait de se relever mais retombait en se tortillant sur le sol. Harry éclatait de rire. Il brandissait sa baguette pour interrompre le maléfice et la silhouette à nouveau immobile poussait un gémissement.
- Lord Voldemort attend..
Très lentement , les bras tremblants, l’homme étendu par terre soulevait ses épaules de quelques centimètres et redressait la tête. Son visage émacié était maculé de sang, tordu par la douleur, mais restait crispé dans une expression de défi…
- Tu vas me tuer, murmurait Sirius.
- Sans aucun doute, c’est ce que je finirai par faire, disait la voix glacée. Mais tu commenceras par aller me la chercher , Black… Tu crois que c’était vraiment de la douleur, ce que tu as éprouvé jusqu’à maintenant ? Réfléchis… Nous avons des heures devant nous et personne ne peut t’entendre…
Quelqu’un se mettait alors à crier lorsque Voldemort abaissait à nouveau sa baguette. Quelqu’un qui hurlait et tombait d’une table brûlante sur la pierre froide. Harry se réveilla en heurtant le sol, hurlant toujours, sa cicatrice en feu tandis que des clameurs s’élevaient tout autour de lui dans la Grande Salle. |
Puis, suite à ce ‘rêve’, Harry ne cesse de souffrir de sa cicatrice jusqu’à ce qu’il se rende au ministère de la magie, tome 5, p 828 :
| Citation: | - Je vais bien, répliqua [Harry] sèchement en sortant de son sac sa cape d’invisibilité.
En fait, sa cicatrice lui faisait mal mais pas au point de lui laisser penser que Voldemort avait donné à Sirius un coup fatal. |
Tome 5, p 842-843 :
| Citation: | - Oui, dit Ombrage, de plus en plus excitée. Oui, bien sûr, c’était le risque avec cet hybride imbécile.
Elle éclata de rire. Harry éprouva une terrible envie de se retourner et de la prendre à la gorge mais il résista à la tentation. Il sentait sa cicatrice palpiter sous la faible brise du soir mais elle n’était pas encore chauffée au rouge, ce qui aurait été le cas si Voldemort s’apprêtait à tuer Sirius. |
Tome 5, p 853 :
| Citation: | | - Oui, dit Harry, alors que sa cicatrice le picotait à nouveau douloureusement. Je suis sûr que Sirius est toujours vivant mais je ne vois pas comment nous pourrions aller là-bas pour l’aider. |
Pendant le combat contre Bellatrix après la mort de Sirius, tome 5, p 911 :
| Citation: | - Dans ce cas, vous allez devoir me tuer parce que la prophétie n’existe plus ! rugit Harry.
Une douleur aigüe lui traversa le front. Sa cicatrice était à nouveau en feu et il sentit monter en lui une fureur qui n’avait rien à voir avec sa propre rage. – Et il le sait ! ajouta Harry avec un rire démentiel digne de Bellatrix. |
Cette douleur continue naturellement avec l’arrivée, juste après ce passage, de Voldemort et pendant le combat qui oppose Dumbledore au ‘Dark Lord’. |
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Lorelei
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| Posté le: 21 Juin 2005 8:26 Sujet du message: |
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En relisant tous les passages parlant de la cicatrice et de la douleur qu'elle provoque et à partir de la remarque de Noon | Noon @ 15 Sep 2004 19:27 a écrit: |
Donc soit la résurrection de ce dernier à renforcer leur lien, soit la douleur d'Harry est dû à autre chose. Après tout c'est Harry qui interprète ça comme lié à la joie de Voldemort, donc la règle 4 s'applique. |
Je me suis demandée si l'intensité de la douleur ne pouvait pas avoir une signification .
En effet j'ai remarqué que les douleurs sont de deux types: lancinante ou fulgurante.
Elles peuvent même provoquer des vomissement chez Harry, mais dans des circonstances particulières, lorsque la mort de quelqu'un est proche ou que la mort est évoquée ou suggérée que ce soit par Harry (lorsqu'il veut tordre le cou à Ombrage), Voldemort (lors du meurtre de Cédric), Ombrage qui est un danger réel pour Harry puisqu'elle veut l'éliminer, le faux Maugrey, ou autre chose (un rêve).
Par contre, les douleurs lancinantes comme pendant la 5ème année ( la cicatrice picote, dérange ) , semble être une sorte de signal d'alerte pour prévenir Harry qu'il fait fausse route (le rêve , qui n'est qu'un rêve comme le fait remarquer Lucius ).
Bref, il m'a semblé que les douleurs à la cicatrice ne sont pas liées à la présence de Voldemort, ni même à ses humeurs .
Ce passage me parait significatif :
| Citation: |
- AÏE ! s’exclama Harry.
Il pressa Harry la serviette contre son visage. Sans ses lunettes, les vestiaires lui paraissaient flous, mais il vit quand même tous les visages tournés vers lui.
- Rien, marmonna-t-il, je me suis mis la serviette dans l’œil, c’est tout.
Mais il adressa à Ron un regard éloquent et tous deux restèrent à le traîne pendant que les autres joueurs de l’équipe sortaient des vestiaires, emmitouflés dans leurs capes, leurs bonnets enfoncés par-dessus leurs oreilles.
- Qu’est-ce qui s’est passé ? demanda Ron dès que Alicia, la dernière de la file, eut franchi la porte. C’était ta cicatrice ?
Harry acquiesça d’un signe de tête.
- Mais …
L’air effrayé, Ron s’approcha de la fenêtre et regarda au-dehors la pluie qui continuait de tomber.
- Il ne peut pas se trouver à proximité ?
- Non, grommela Harry.
Il se laissa tomber sur le banc et frotta sa cicatrice.
- Il est probablement a des kilomètres d’ici. Ca m’a fait mal parce qu’il est… en colère.
Harry n’avait eu aucune intention de dire cela et il entendit ses propres paroles comme si un étranger les avait prononcés. Pourtant, il sut tout de suite qu’elles étaient vraies. Il ignorait comment, mais il le savait : Voldemort, où qu’il fut, quoi qu’il fît, était d’une humeur massacrante.
- Tu l’as vu ? demanda Ron, horrifié. Tu as eu… une vision ou quelque chose comme ça ?
Harry resta immobile, les yeux fixés sur ses chaussures, laissant son esprit et sa mémoire se détendre après l’intensité de la douleur.
Un mélange indistinct de silhouettes, un flot de voix vociférantes…
- Il veut que quelque chose soit fait et ça ne se passe pas assez vite à son goût, dit-il.
A nouveau, il fut surpris d’entendre ces mots sortir de sa bouche et pourtant, il était sûr que c’était vrai.
[…]
- C’était déjà comme ça, la dernière fois ? demanda [Ron] d’une voix étouffée. Lorsque ta cicatrice t’a fait mal, dans le bureau de Ombrage ? Tu-Sais-Qui était en colère ?
Harry fit non de la tête.
- Alors qu’est-ce qui se passe ?
Harry rassembla ses souvenirs. Il avait regardé le visage d’Ombrage… Sa cicatrice lui avait fait mal.. et il avait éprouvé cette étrange sensation… Une sensation de bonheur… mais bien entendu, il ne l’avait pas interprétée ainsi sur le moment, lui-même s’était senti trop accablé pour cela…
- La dermière fois, c’était parce qu’il était content, dit-il. Vraiment content. Il pensait… qu’une bonne chose allait se produire. Et la veille de notre arrivée à Poudlard…
Il repensa au moment où sa cicatrice lui avait fait tellement mal, dans la chambre du square Grimmaurd…
- … ce jour là, il était furieux…
Il se tourna vers Ron qui le regardait bouche bée.
- Tu pourrais remplacer Trelawney, dit-il, intimidé.
- Je ne lis pas l’avenir, répliqua Harry.
- Non, tu sais ce que sais ce que tu fais ? dit Ron qui paraissait à la fois effrayé et impressionné. Harry, tu parviens à lire les pensées de Tu-Sais-Qui !
- Non, répondit Harry en hochant la tête. C’est plutôt… son humeur, j’imagine. Par instant, je ressens son humeur comme une sorte d’éclair. Dumbledore a dit quelque chose dans ce genre là l’année dernière. Lorsque Voldemort était près de moi ou qu’il ressentait de la haine, je le savais. Eh bien, maintenant, je sais aussi quand il est de bonne humeur…
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Harry ressent une douleur, mais il sait que Voldemort n'est pas à proximité, il cherche donc une autre interprétation en regardant d'autres situations similaires et il pense que sa cicatrice se manifeste en fonction des humeurs de Voldemort. Mais c'est une hypothèse fondée sur celle émise par Dumbledore.
La douleur et les pensées de Voldemort sont mises en relation car c'est le point de vue de Harry et qu'il ne sait pas Pourquoi cette cicatrice lui fait mal .
Je pense que les deux choses sont indépendantes et que Harry peut connaitre les humeurs de Voldemort sans ressentir de douleur.
La cicatrice est peut être une trace de la protection de Lily qui perdure L'intensité de la douleur agissant comme un signal alertant Harry de l'imminence et de la réalité d'un danger (douleur fulgurante) ou qu'il se trompe dans ses suppositions comme c'est le cas avec le rêve ( douleur lancinante) mais Harry ne le sait pas.
En parallèle Harry peut connaitre les humeurs de Voldemort, car ils sont liés par l'avada raté et le sang de Harry . Harry sait de plus en plus ce que pense Voldemort puisque maintenant il lui a donné un peu de lui-même.
C'est un peu capillotracté selon l'expression consacrée, mais qu'en pensez vous ? |
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Aurelius Mark
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| Posté le: 21 Juin 2005 10:38 Sujet du message: |
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Moi, je trouve que c'est une explication plutôt élégante, et surtout pas tirée par les cheveux. Simplement, ce n'est pas l'hypothèse que Harry lui-même donne, et c'est cela qui peut la rendre un peu plus difficile à accepter. Cependant, pour moi, elle est meilleure, car elle permet d'expliquer plus d'éléments et de leur donner une cohérence qu'ils n'ont pas avec l'explication que donne Harry (bref, c'est exactement ce qu'on appelle la "démarche scientifique"  )
Je ne vais pas répéter les arguments qui ont été présentés (et bravo Silvertongue pour cette recherche exhaustive). Je vais juste ajouter un élément supplémentaire qui me frappe à chaque lecture. Dans le tome 5, fin du chapitre 31 ("OWLs"), pendant l'examen d'Histoire de la Magie, Harry aimerait bien pouvoir faire de la Legilimency sur Parvati Patil. Il ferme les yeux, se concentre... et les réponses qu'il ne trouvait pas lui viennent toutes seules à l'esprit. Comme s'il avait effectivement fait de la Legilimency. Pourtant, à ce moment-là, sa cicatrice ne se manifeste pas (enfin, pas encore...).
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Mystra
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| Posté le: 21 Juin 2005 13:32 Sujet du message: |
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Moi aussi j'aime bien ta théorie sauf que...
| Citation: | | La cicatrice est peut être une trace de la protection de Lily qui perdure L'intensité de la douleur agissant comme un signal alertant Harry de l'imminence et de la réalité d'un danger (douleur fulgurante) ou qu'il se trompe dans ses suppositions comme c'est le cas avec le rêve ( douleur lancinante) mais Harry ne le sait pas. |
Si sa cicatrice agirait comme une trace de la protection de Lily, quand Harry se fait attaquer par les Détraqueurs dans Magnolia Street elle lui aurait fait mal... même chose quand Lupin s'es changer en loup-garou ou que le basilic l'a attaquer.
Hors sa cicatrice ne lui a pas fait mal a ses moments là...Harry a souvent été en danger mais sa cicatrice ne lui fait mal que quand c'est relié à Voldemort.
Les douleurs ressenties sont le fruit ou la conséquence de quelque chose relier à Voldemort.
| Citation: | | Je pense que les deux choses sont indépendantes et que Harry peut connaitre les humeurs de Voldemort sans ressentir de douleur. |
Alors pourquoi a t-il mal quand il ressent les pensées de Voldemort ? Il va falloir que je relise certains passage, mais il me semble qu'a chaque fois que Harry ressent les humeurs de Voldemort sa cicatrice lui fait mal...
| Citation: | | En parallèle Harry peut connaitre les humeurs de Voldemort, car ils sont liés par l'avada raté et le sang de Harry . Harry sait de plus en plus ce que pense Voldemort puisque maintenant il lui a donné un peu de lui-même. |
100% d'accord...
Mais Harry ne sait pas ce qu'il pense, mais ce qu'il ressent (défaite, fureur, joie mauvaise)... parce que si Harry saurait ce que pense Voldemort il saurait où il se cache.
Je ne me rappelle pas par contre qu'Harry vomit, je me rappelle qu'il a des nausées mais pas de vomissements (c'est dans quel tome ?)
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Noon
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| Posté le: 21 Juin 2005 16:13 Sujet du message: |
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Attention, ça va être assez capillotracté et assez contestable parce que hautement psychologique. Mais je tiens à me faire l'avocat du diable pour l'instant.
| Mystra @ 21 Juin 2005 14:32 a écrit: | | Harry a souvent été en danger mais sa cicatrice ne lui fait mal que quand c'est relié à Voldemort. |
Peut-être qu'inconsciemment, Harry n'associe l'idée de danger qu'à Voldemort. Dès lors, il pourrait inconsiciemment bloquer tous les signaux qui ne sont pas liés directement à Voldemort, et donc directement une menace pour lui.
| Citation: | | à chaque fois que Harry ressent les humeurs de Voldemort sa cicatrice lui fait mal... |
Toujours en ragardant du côté de l'inconscient, Harry associe peut-être tout simplement Voldemort à la douleur.
Après tout, Harry a été marqué au physique et au moral par un événement qu'il ne peut se rappelle consciemment que sous la forme d'une lumière verte; dans le même temps, ça a été traumatisante pour qu'en bébé de 15 mois enregistre quand même des sons et des images de ce drame; ensuite, cet événement traumatique ne cesse d'être rejoué, d'abord quand Harry apprend ourquoi il est orphelin, puis à chaque nouvelle rencontre avec Voldemort.
Tout ça pour dire que si Harry associe (inconsciemment) Voldemort a des événements suffisamment douloureux et traumatiques, alors toute pensée de Voldemort provoque chez une douleur réelle, physique; en d'autre terme, il somatise et extériorise une douleur qui pour l'instant n'est que psychologique.
Pour la même raison, il somaise au niveau de la cicatrice parce que c'est le rappel constant des événements traumatiques sus-mentionnés.
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Dorian
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| Posté le: 21 Juin 2005 16:33 Sujet du message: |
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Que de circonvolutions !
Eh bien rajoutons en !
Pourquoi ne pas relier cette cicatrice aux baguettes jumelles ? Un lien de plus entre ces deux "frères" ennemis involontaires. Voldemort semble avoir fait de Harry une sorte d'antenne réceptrice, autre chose qu'un médium certes, une sorte de "double", pas exactement un "doppleganger" mais presque.
En l'occurence, et c'est là que la chose se corse, c'est bien Voldemort qui dans un premier temps, après sa défaite, devient un doppleganger ou l'équivalent d'un tel être (boit du sang d'être magique pour acquérir les pouvoirs de celui-ci, "copie" mais en possédant un autre être humain...).
Je doute que Lily y soit totalement pour quelque chose dans la quasi destruction de cet homme. Il s'est, à mon avis, passé une sorte de phénomène de "feed back" ce soir là, le soir où il est allé chez les Potter avec l'intention bien arrêtée de trucider le jeune Potter.
Zap, Avada, rayon vert envoyé, protection de la mère, inconnue (X) sans doute créée par l'enfant et vlan   bébé renvoie le tout avec un joli petit emballage cadeau qui n'a pas plu au grand mais stupide sorcier qui s'en est pris plein le buffet. 
Bon, il se trouve que le jeune Potter a récolté cette cicatrice au passage : signal d'alarme ou manifestation de sa puissance. Seconde fontanelle ? Et oui! Pourquoi ne pas penser à une fontanelle magique ? L'énergie se serait directement dirigée de son esprit pour attaquer Voldy dear ! Et créer ce phénomène auquel nous avons pu assister dans "La coupe de Feu" : la résille "d'énergie" entre les deux baguettes qui s'étaient confrontées.
Pourquoi pas? Capillotracté ou pas?
Dorian
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Dernière édition par Dorian le 21 Juin 2005 16:45; édité 2 fois |
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Noon
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| Posté le: 21 Juin 2005 16:37 Sujet du message: |
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Euh capillotracté oui, comme toute bonne théorie moldunetienne. Cependant, je me demande si ton post n'aurait pas plus sa place dans le sujet sur ce qui s'est passé à Godric's Hollow le soir du 31 octobre 1981.
De toute façon, relire ce topic (oui je sais 10 pages) ne peut faire que du bien, et peut-être apportera un regard et des idées neuves là-dessus!
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Lorelei
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| Posté le: 22 Juin 2005 8:47 Sujet du message: |
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| Mystra @ 21 Juin 2005 14:32 a écrit: |
Je ne me rappelle pas par contre qu'Harry vomit, je me rappelle qu'il a des nausées mais pas de vomissements (c'est dans quel tome ?) |
Tous les passages évoquant la cicatrice et les douleurs de Harry ont été répertoriés par Silvertongue, un peu plus haut dans le topic . Harry vomit quand Mr Weasley se fait attaquer par le serpent .
De plus Silvertongue précise ici | Citation: | Harry ressent un ‘désagrément‘ au niveau de sa cicatrice, lorsqu’il est dans le parc de Magnolia Crescent, près de chez les Dursley, p 17 :
| Citation: |
Souvent, la cicatrice de son front le picotait désagréablement mais il savait bien que Ron, Hermione ou Sirius n’y accorderaient pas la moindre importance. Dans le passé, la douleur de l’avertissait que Voldemort reprenait des forces, mais à présent que Voldemort était bel et bien de retour, ses amis lui auraient sans doute répondu qu’il devait s’attendre à ressentir plus régulièrement cette irritation… Pas de quoi s’inquiéter… Rien de nouveau… |
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Dans ce passage, Harry ressent un picotement ( signe, d'après ce que j'émets, qu'il y a un danger qui se profile ou qu'il se trompe dans son raisonnement ) , or juste avant le passage parlant de la cicatrice Harry pense au rêve inquiétant qui le hante et ensuite il est confronté aux Détraqueurs.
On peut aussi remarquer aussi le "souvent", qui signifie que depuis le début de l'été la cicatrice le picote régulièrement (peut être lorsqu’il rêve).
On voit aussi dans ce passage que Harry ne sait pas pourquoi sa cicatrice lui fait mal, qu'il se rassure avec l'hypothèse émise par Dumbledore et que personne n' accorde d'importance aux picotements, désagréments, malaises liés à la cicatrice.
On peut aussi remarquer les points de suspension.
Je trouve tout celà fort suspect …
J'essaie de trouver une autre explication aux douleurs de la cicatrice que la présence ou les humeurs de Voldemort, car au vue des différences d'intensité de la douleur ressentie par Harry, il me semble qu’elles peuvent avoir une signification particulière selon qu’elles sont fulgurantes ou de simples picotements.
Que la cicatrice, lorsqu'elle picote agisse comme un radar alertant Harry d'un danger ou d'une erreur de raisonnement , et lorsqu'elle provoque une douleur fulgurante soit signe de mort, sont des hypothèses qu’il faut affiner.
Je crois qu'il peut être utile de creuser cette variation d'intensité de la douleur pour formuler d'autres hypothèses expliquant justement cette différence que je ne trouve pas logique en soi, si ce n’est lorsqu'on classe les passages en deux catégories : douleurs fulgurantes et douleurs dérangeantes .
Pour Noon, je ne pense pas que Joanne K. Rowling soit allée aussi loin que ton explication psychologique mais j'y avais pensé aussi avant de la recaller car trop complexe à expliquer à des enfants.
Par contre Joanne K. Rowling met constamment en parallèle la douleur à la cicatrice et Voldemort (présence d'abord, puis humeurs ensuite), et toujours selon le point de vue de Harry .
On voit aussi souvent les fameux points de suspensions dans les passages où Harry tente de trouver une explication à ses douleurs. |
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